Randos Rhône Alpes
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L’écomusée de la bourrine du Bois-Juquaud est une structure muséale française située dans la commune de Saint-Hilaire-de-Riez, dans le département de la Vendée et la région des Pays-de-la-Loire. C'est un ensemble authentique et attachant de constructions en terre, couvertes de roseaux, qui témoignent de la vie dans le marais breton vendéen au début du siècle dernier. Elle se compose de la bourrine proprement dite, un lieu d 'habitation restauré et de nombreux bâtiments annexes qui grâce à des témoignages, ont pu être reconstruits comme autrefois. L'ensemble se situe dans un espace véritablement privilégié en bordure du marais, riche de la végétation préservée du milieu dunaire.
Un espace d'accueil complète ce lieu et offre ainsi aux visiteurs une vidéo sur la construction en terre ainsi que de nombreux documents. En 2008, une nouveauté majeure est intervenue avec l'ouverture d'un espace multimédia. Des animations sont régulièrement organisées d'avril jusqu'au mois de septembre. Ce lieu est aussi le départ pour de nombreuses randonnées vers les Pays de Vie et de Monts.
Situé à proximité de stations balnéaires de la Côte de Lumière, il connaît une fréquentation touristique importante, notamment l’été27. La fréquentation annuelle était estimée à 18 000 visiteurs en 201220, à 16 500 en 2013, et à 20 200 en 2014.
Tarifs | Min. | Max. |
---|---|---|
Tarif indiv. enfant Gratuit pour les moins de 6 ans accompagnés. |
4€ | / |
Tarif indiv. réduit | 5€ | / |
Tarif indiv. adulte | 6€ | / |
Formule famille | 18€ | / |
Moyens de paiement
- Cartes bancaires
- Chèques bancaires et postaux
- Chèques Vacances
- Espèces
Périodes d'ouverture
L’écomusée de la bourrine du Bois-Juquaud est une structure muséale française située dans la commune de Saint-Hilaire-de-Riez, dans le département de la Vendée et la région des Pays-de-la-Loire. C'est un ensemble authentique et attachant de constructions en terre, couvertes de roseaux, qui témoignent de la vie dans le marais breton vendéen au début du siècle dernier. Elle se compose de la bourrine proprement dite, un lieu d 'habitation restauré et de nombreux bâtiments annexes qui grâce à des témoignages, ont pu être reconstruits comme autrefois. L'ensemble se situe dans un espace véritablement privilégié en bordure du marais, riche de la végétation préservée du milieu dunaire.
Un espace d'accueil complète ce lieu et offre ainsi aux visiteurs une vidéo sur la construction en terre ainsi que de nombreux documents. En 2008, une nouveauté majeure est intervenue avec l'ouverture d'un espace multimédia. Des animations sont régulièrement organisées d'avril jusqu'au mois de septembre. Ce lieu est aussi le départ pour de nombreuses randonnées vers les Pays de Vie et de Monts.
Situé à proximité de stations balnéaires de la Côte de Lumière, il connaît une fréquentation touristique importante, notamment l’été27. La fréquentation annuelle était estimée à 18 000 visiteurs en 201220, à 16 500 en 2013, et à 20 200 en 2014.
Tarifs | Min. | Max. |
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Tarif indiv. enfant Gratuit pour les moins de 6 ans accompagnés. |
4€ | / |
Tarif indiv. réduit | 5€ | / |
Tarif indiv. adulte | 6€ | / |
Formule famille | 18€ | / |
Moyens de paiement
- Cartes bancaires
- Chèques bancaires et postaux
- Chèques Vacances
- Espèces
Périodes d'ouverture
On ne peut pas aller découvrir le pays basque sans goûter son célèbre gâteau. Mais quelle est donc l’histoire de cette recette si savoureuse ?. On la doit à Marie-Anne Hirigoyen qui tenait la pâtisserie « Marie-Anne » dans la maison Behereko-etxea de la rue Cherri-Karrika de Combo. Elle tenait de sa grand-mère la recette des Biskotchak qu’elle vendait aux touristes et aux curistes de la station thermale. La délicieuse et précieuse recette fut transmise à sa fille Marie Dassance-Dibar qui à son tour confia le secret de la fabrication à ses deux filles. L’aînée, Anne, était petite et de physique banal. Elisabeth, la deuxième était jolie et de belle prestance. Restées célibataires, et surnommées les sœurs Biskotx, on les voyait monter la rue de l’église avec leurs paniers de gâteaux qu’elles vendaient dans un magasin de la rue des Terrasses. A la mort de sa sœur, Anne Dibar vendit sa recette du gâteau de Cambo devenu gâteau basque au pâtissier local nommé Ingres. En 2002, des pâtissiers boulangers ont créé une association dénommé Eguska pour la qualité et la promotion du produit et l’organisation annuelle à Combo de la fête gâteau basque.
On ne peut pas aller découvrir le pays basque sans goûter son célèbre gâteau. Mais quelle est donc l’histoire de cette recette si savoureuse ?. On la doit à Marie-Anne Hirigoyen qui tenait la pâtisserie « Marie-Anne » dans la maison Behereko-etxea de la rue Cherri-Karrika de Combo. Elle tenait de sa grand-mère la recette des Biskotchak qu’elle vendait aux touristes et aux curistes de la station thermale. La délicieuse et précieuse recette fut transmise à sa fille Marie Dassance-Dibar qui à son tour confia le secret de la fabrication à ses deux filles. L’aînée, Anne, était petite et de physique banal. Elisabeth, la deuxième était jolie et de belle prestance. Restées célibataires, et surnommées les sœurs Biskotx, on les voyait monter la rue de l’église avec leurs paniers de gâteaux qu’elles vendaient dans un magasin de la rue des Terrasses. A la mort de sa sœur, Anne Dibar vendit sa recette du gâteau de Cambo devenu gâteau basque au pâtissier local nommé Ingres. En 2002, des pâtissiers boulangers ont créé une association dénommé Eguska pour la qualité et la promotion du produit et l’organisation annuelle à Combo de la fête gâteau basque.
Outre sa notoriété pour la fabrication de la faïence, à Moustiers Ste Marie il ne faut pas râter de se rendre sur les hauteurs de la ville, à la chapelle Notre-Dame de Beauvoir.
La première mention connue de la chapelle désignée d’abord sous le nom de Notre-Dame d’Entre-Roches remonte au 11e siècle. La nef actuelle de style roman peut dater du 13e siècle. Les deux dernières travées et le chœur, de style gothique, datent du 16e siècle, comme le portail de bois finement sculpté et le porche couvert de tuiles vernissées. La renommée de la chapelle se répandit à partir du 12e siècle, surtout en raison des miracles de la Vierge. Le pèlerinage à Notre-Dame fut rapidement encouragé par l’Eglise, sui accordait ou vendait des indulgences aux pèlerins.
Au 17e siècle, des pèlerinages prirent une forme particulière. On amenait ici les enfants morts-nés pour les faire ressusciter quelques instants, le temps de les baptiser. Après quoi, il était possible de les faire inhumer religieusement dans l’enceinte du cimetière assurant ainsi le salut à leur âme. C’est ce que l’on appelle les suscitations d’enfants. Les chapelles reconnues pour ce miracle sont désignées sous le nom de chapelles à répit. Notre-Dame de Beauvoir est l’une des rares de Provence.
Le petit pont de la chapelle.
Les pèlerins qui se rendaient à la chapelle franchissaient le ravin sur une passerelle de bois jusqu’en 1783, année où la communauté religieuse fit édifier ce petit pont en dos d’âne. L’une des pierres centrales du parapet méridional contient d’ailleurs ce millésime et les armes de la ville. Sur sa face extérieure se trouve une niche destinée à recevoir une statue de la Vierge. Une grotte qui s ‘ouvrait au-dessus de Notre-Dame venait de s’effondrer. Ses pierres ont été utilisées pour construire le pont, les faîenciers de la ville ont fourni la chaux nécessaire. Les bijoux de la Vierge ont été vendus pour payer le reste des matériaux et des frais. Le rocher sur lequel coule le torrent a été largement taillé en glacis car il arrivait que l’eau inonde le tablier du point lors de violents orages. Une plaque gravée se voit entre deux cyprès, sur la paroi rocheuse en amont du pont. Apposée en 1920, elle contient un passage de l’ouvrage de Frédéric Mistral écrit en 1885 et intitulé « Les lies d’Or », qui conte l’aventure du chevalier de Blacas, prisonnier des sarrasin lors de l’une des croisades.
Quand on se rend à la chapelle, on ne peut ignorer de croiser l’oratoire de Blacas. Cet oratoire est l’un des plus anciens de toute la Provence. Il aurait été érigé au 14e siècle. Son allure, sa matière ( il est en tuf) le distinguent parmi tous ceux que l’on rencontre sur le chemin de la chapelle. On suppose qu’il constitue l’ultime élément d’un chemin de croix qui menait autrefois à Notre-Dame de Beauvoir. Les oratoires ne nommaient « plion, pierron » en provençal. Ils présentaient souvent, sur la face tournée vers le chemin, une excavation centrale dans laquelle une coupelle contenait de l’eau bénite. C’est ici une belle ouverture tréfilée. L’étoile à seize rais placée en son cœur est celle qui est contenue dans les armes des Blacas, co-seigneurs de Moustiers, qui semblent être à l’origine de sa construction. La grande croix qui la surmonte supportait autrefois un coq métallique. L’entablement de marbre enchâssé dans le parapet qui constitue la base de cet oratoire est utilisé en réemploi. Il s’agit manifestement d’un élément de décor romain qui fut porté là lors de son érection.
Outre sa notoriété pour la fabrication de la faïence, à Moustiers Ste Marie il ne faut pas râter de se rendre sur les hauteurs de la ville, à la chapelle Notre-Dame de Beauvoir.
La première mention connue de la chapelle désignée d’abord sous le nom de Notre-Dame d’Entre-Roches remonte au 11e siècle. La nef actuelle de style roman peut dater du 13e siècle. Les deux dernières travées et le chœur, de style gothique, datent du 16e siècle, comme le portail de bois finement sculpté et le porche couvert de tuiles vernissées. La renommée de la chapelle se répandit à partir du 12e siècle, surtout en raison des miracles de la Vierge. Le pèlerinage à Notre-Dame fut rapidement encouragé par l’Eglise, sui accordait ou vendait des indulgences aux pèlerins.
Au 17e siècle, des pèlerinages prirent une forme particulière. On amenait ici les enfants morts-nés pour les faire ressusciter quelques instants, le temps de les baptiser. Après quoi, il était possible de les faire inhumer religieusement dans l’enceinte du cimetière assurant ainsi le salut à leur âme. C’est ce que l’on appelle les suscitations d’enfants. Les chapelles reconnues pour ce miracle sont désignées sous le nom de chapelles à répit. Notre-Dame de Beauvoir est l’une des rares de Provence.
Le petit pont de la chapelle.
Les pèlerins qui se rendaient à la chapelle franchissaient le ravin sur une passerelle de bois jusqu’en 1783, année où la communauté religieuse fit édifier ce petit pont en dos d’âne. L’une des pierres centrales du parapet méridional contient d’ailleurs ce millésime et les armes de la ville. Sur sa face extérieure se trouve une niche destinée à recevoir une statue de la Vierge. Une grotte qui s ‘ouvrait au-dessus de Notre-Dame venait de s’effondrer. Ses pierres ont été utilisées pour construire le pont, les faîenciers de la ville ont fourni la chaux nécessaire. Les bijoux de la Vierge ont été vendus pour payer le reste des matériaux et des frais. Le rocher sur lequel coule le torrent a été largement taillé en glacis car il arrivait que l’eau inonde le tablier du point lors de violents orages. Une plaque gravée se voit entre deux cyprès, sur la paroi rocheuse en amont du pont. Apposée en 1920, elle contient un passage de l’ouvrage de Frédéric Mistral écrit en 1885 et intitulé « Les lies d’Or », qui conte l’aventure du chevalier de Blacas, prisonnier des sarrasin lors de l’une des croisades.
Quand on se rend à la chapelle, on ne peut ignorer de croiser l’oratoire de Blacas. Cet oratoire est l’un des plus anciens de toute la Provence. Il aurait été érigé au 14e siècle. Son allure, sa matière ( il est en tuf) le distinguent parmi tous ceux que l’on rencontre sur le chemin de la chapelle. On suppose qu’il constitue l’ultime élément d’un chemin de croix qui menait autrefois à Notre-Dame de Beauvoir. Les oratoires ne nommaient « plion, pierron » en provençal. Ils présentaient souvent, sur la face tournée vers le chemin, une excavation centrale dans laquelle une coupelle contenait de l’eau bénite. C’est ici une belle ouverture tréfilée. L’étoile à seize rais placée en son cœur est celle qui est contenue dans les armes des Blacas, co-seigneurs de Moustiers, qui semblent être à l’origine de sa construction. La grande croix qui la surmonte supportait autrefois un coq métallique. L’entablement de marbre enchâssé dans le parapet qui constitue la base de cet oratoire est utilisé en réemploi. Il s’agit manifestement d’un élément de décor romain qui fut porté là lors de son érection.
Ne vous y fiez pas !. embrasser Fanny ou baiser Fanny n’est pas une récompense ( enfin, tout dépend toujours de la Fanny !). Cela veut dire perdre une partie sans avoir marqué un seul point. On emploie souvent l’expression d’être Fanny. Cette tradition serait originaire non pas comme on pourrait le penser du sud de la France mais de Savoie. La Fanny originelle aurait été serveuse au café de Grand-Temps, juste avant la Première Guerre Mondiale. La légende dit que, par gentillesse, elle se laissait embrasser par les clients qui venaient de perdre aux boules sans marquer le moindre petit point. La bise se faisait alors sur la joue. Jusqu’au jour où, toujours selon la légende, le maire du village perdit à son tour et vint quémander sa récompense !. Fanny avait-elle un grief contre lui et voulut-elle l’humilier en public ?. Nul ne le sait. Ce qui est sûr, c’est qu’elle grimpa sur une chaise, releva ses jupes et lui tendit….ses fesses !. Le maire ne se démonta pas. Moins d’une seconde plus tard, deux baisers retentissants résonnaient dans le café. C’était ainsi le début d’une longue tradition….
Le problème, c’est que les joueurs n’ont pas toujours une Fanny sous la main. Ou plus exactement une Fanny qui accepterait de dévoiler ses fesses en public. C’est pourquoi, dans tous les lieux où l’on joue aux boules, une place d’honneur est réservée à une Fanny postiche. Les malheureux perdants sont alors obligés de venir embrasser en public les fesses toujours rebondies d’une Fanny représentée sous forme de tableau, de poterie ou de sculptures. Ainsi, la récompense est devenue l’humiliation suprême pour tout joueur de boules. Coincidence ?. L’expression « être capot » qui, à la belote, signifie ne pas avoir marqué un seul point dans une mène, viendrait d’une expression provençale qui veut tout simplement dire : « faire baiser le cul » !. Comme quoi, en Provence, les boules et la belote se rejoignent toujours…
Ne vous y fiez pas !. embrasser Fanny ou baiser Fanny n’est pas une récompense ( enfin, tout dépend toujours de la Fanny !). Cela veut dire perdre une partie sans avoir marqué un seul point. On emploie souvent l’expression d’être Fanny. Cette tradition serait originaire non pas comme on pourrait le penser du sud de la France mais de Savoie. La Fanny originelle aurait été serveuse au café de Grand-Temps, juste avant la Première Guerre Mondiale. La légende dit que, par gentillesse, elle se laissait embrasser par les clients qui venaient de perdre aux boules sans marquer le moindre petit point. La bise se faisait alors sur la joue. Jusqu’au jour où, toujours selon la légende, le maire du village perdit à son tour et vint quémander sa récompense !. Fanny avait-elle un grief contre lui et voulut-elle l’humilier en public ?. Nul ne le sait. Ce qui est sûr, c’est qu’elle grimpa sur une chaise, releva ses jupes et lui tendit….ses fesses !. Le maire ne se démonta pas. Moins d’une seconde plus tard, deux baisers retentissants résonnaient dans le café. C’était ainsi le début d’une longue tradition….
Le problème, c’est que les joueurs n’ont pas toujours une Fanny sous la main. Ou plus exactement une Fanny qui accepterait de dévoiler ses fesses en public. C’est pourquoi, dans tous les lieux où l’on joue aux boules, une place d’honneur est réservée à une Fanny postiche. Les malheureux perdants sont alors obligés de venir embrasser en public les fesses toujours rebondies d’une Fanny représentée sous forme de tableau, de poterie ou de sculptures. Ainsi, la récompense est devenue l’humiliation suprême pour tout joueur de boules. Coincidence ?. L’expression « être capot » qui, à la belote, signifie ne pas avoir marqué un seul point dans une mène, viendrait d’une expression provençale qui veut tout simplement dire : « faire baiser le cul » !. Comme quoi, en Provence, les boules et la belote se rejoignent toujours…
La pétanque dans le sud de la France est à la Provence, ce que le rubgy est au SO ; une sorte d’institution. Mais de quand date t-elle ?.
La pétanque est avant tout considéré comme un sport de boules. Son nom vient de l’expression « pés tanqués », qui veut dire pieds joints. Le jeu consiste à lancer des boules de pétanque, pour atteindre le cochonnet. Le gagnant est celui qui a lancé la boule le plus près du cochonnet, tout comme les boules classiques. Le jeu de boules est très ancien. Les archéologues ont ainsi trouvé des traces de ce jeu, en Egypte ancienne, en Grèce du temps d’Alexandre le Grand et chez les Romains. Ce sont ces derniers qui ont introduit le jeu de boules en Gaule ( la France), à l’époque de la conquête de Massilia ( Marseille) et de Lugdunum (Lyon). Au départ, c’était un jeu de Nobles, mais il est devenu populaire avec la Révolution Française. En 1850, le jeu de boules est devenu un sport officiel. La Fédération Française de Pétanque et du Jeu Provençal qui regroupent tous les pratiquants de ce jeu existe depuis 1945. Cette Fédération organise des championnats et attribue des prix. La pétanque est présente en France, mais aussi dans d’autres pays comme Israël. Il faut aussi savoir qu’il existe un grand nombre de jeux de boules, en France comme à l’étranger. Au fil du temps, on retrouve plusieurs jeux d’adresse pratiqués de par le monde avec des boules en pierre, en argile ou en bois ou soumis à des règles différentes de celles de la pétanque, tels le jeu lyonnais, la boccia, le green bowis, etc...
A retenir : la pétanque se joue sur un terrain non délimité avec des boules de 900 grammes maximum en 13 ou 15 points. Les boules doivent être lancées dans un cercle de 33 à 50 cm. Les pieds des joueurs doivent être posés à l’intérieur du cercle et ne peuvent en sortir que lorsque la boule a touché le sol.
La pétanque dans le sud de la France est à la Provence, ce que le rubgy est au SO ; une sorte d’institution. Mais de quand date t-elle ?.
La pétanque est avant tout considéré comme un sport de boules. Son nom vient de l’expression « pés tanqués », qui veut dire pieds joints. Le jeu consiste à lancer des boules de pétanque, pour atteindre le cochonnet. Le gagnant est celui qui a lancé la boule le plus près du cochonnet, tout comme les boules classiques. Le jeu de boules est très ancien. Les archéologues ont ainsi trouvé des traces de ce jeu, en Egypte ancienne, en Grèce du temps d’Alexandre le Grand et chez les Romains. Ce sont ces derniers qui ont introduit le jeu de boules en Gaule ( la France), à l’époque de la conquête de Massilia ( Marseille) et de Lugdunum (Lyon). Au départ, c’était un jeu de Nobles, mais il est devenu populaire avec la Révolution Française. En 1850, le jeu de boules est devenu un sport officiel. La Fédération Française de Pétanque et du Jeu Provençal qui regroupent tous les pratiquants de ce jeu existe depuis 1945. Cette Fédération organise des championnats et attribue des prix. La pétanque est présente en France, mais aussi dans d’autres pays comme Israël. Il faut aussi savoir qu’il existe un grand nombre de jeux de boules, en France comme à l’étranger. Au fil du temps, on retrouve plusieurs jeux d’adresse pratiqués de par le monde avec des boules en pierre, en argile ou en bois ou soumis à des règles différentes de celles de la pétanque, tels le jeu lyonnais, la boccia, le green bowis, etc...
A retenir : la pétanque se joue sur un terrain non délimité avec des boules de 900 grammes maximum en 13 ou 15 points. Les boules doivent être lancées dans un cercle de 33 à 50 cm. Les pieds des joueurs doivent être posés à l’intérieur du cercle et ne peuvent en sortir que lorsque la boule a touché le sol.
A la Une ce mois-ci
Briançon : une ville au riche patrimoine.
Photorandos met à la Une ce mois-ci la découverte d'une ville, d'une cité même pourrait-on dire au travers de Briançon. L'une des villes les plus ensoleillées de France peut s'enorgueillir d'offrir un riche passé patrimonial. Et le célèbre Vauban n'est pas étranger à cette notoriété.. NOTRE ESCAPADE A DECOUVIR
Notre dernier test
Dans cette rubrique hôtels, nous vous emmenons du côté de la Côte d'Azur le long de la Rivieira découvrir un motel très sympathique avec vue sur la mer. Nous sommes ici au Cros de Cagnes très exactement.Découvrez notre article complet.
Découvertes régionales
Un dôme impressionnant !.
Lyon peut s’enorgueillir de posséder un magnifique patrimoine architectural. Parmi ces lieux célèbres, il y a celui de l’Hôtel Dieu et tout particulièrement de son Grand Dôme que j'ai visité en exclusivité. Malgré la reconversion des lieux qui vient d’être entamée, l’intégralité des bâtiments est classée au titre des Monuments Historiques depuis novembre 2011. Autrement dit, la modernité va pleinement se joindre au passé de ces lieux. Car ce Grand Dôme va se fondre dans un ensemble commercial et hôtelier (5 étoiles tout de même et une capacité de 140 chambres). DECOUVREZ ICI LA SUITE DE NOTRE REPORTAGE
Découvrir la Bretagne
A Fer et à Flots à Morlaix : entre terre et mer.
UN JOLI CONCEPT
Nous prendrions le train puis une vedette et retour avec celle-ci à notre point de départ. Mais c’était sans nous en dire plus. Et c’est finalement dans le cadre d’un circuit touristique que se déroula cette journée qui fut de nous proposer une véritable invitation au voyage en Bretagne. NOTRE VOYAGE A DECOUVIR
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